Les plus belles plages du Cap-Vert
Aux confins de l’Atlantique, l’archipel du Cap-Vert déroule ses rivages comme une invitation au lâcher-prise. Ici, toutes les plages ne se ressemblent pas : certaines sont vastes et dorées, battues par les vents et les rouleaux, d’autres sont de petites anses cachées entre les falaises, abritées, confidentielles. Il y a celles qui séduisent les amateurs de farniente, d’autres qui attirent les surfeurs ou les amoureux de paysages bruts. Mais partout, le même sentiment d’espace, de lumière et de bout du monde à découvrir au fil d’un voyage sur mesure au Cap-Vert.
Les plages du Cap-Vert
La diversité géographique des îles cap-verdiennes offre un éventail inattendu de plages. Les îles de Sal et Boa Vista, plus arides, abritent les longues langues de sable blanc que recherchent les voyageurs en quête de soleil et de baignade. Les plages y sont vastes, presque irréelles, bordées de dunes et baignées d’une lumière éclatante.
À l’inverse, les îles montagneuses comme São Vicente ou Santiago proposent des criques de sable noir, des lagunes oubliées, des plages vivantes où viennent pêcher les habitants. À Maio, l’atmosphère est plus douce encore, presque hors du temps, avec ses plages désertes et son rythme lent. Quant à São Nicolau ou Brava, elles dévoilent des rivages secrets, à peine effleurés par le tourisme.
Ces plages ne sont pas seulement des paysages : ce sont aussi des lieux de vie, de pêche, de passage. Certaines invitent à la contemplation, d’autres à la baignade ou à la marche, d’autres encore au silence. Les plus belles plages du Cap-Vert racontent à leur manière l’âme multiple de l’archipel.
Comment atteindre les plages du Cap-Vert
Explorer les plus belles plages du Cap-Vert suppose de changer d’île, parfois plusieurs fois, au fil d’un même voyage. Pour relier les îles de l’archipel capverdien, il existe des vols intérieurs fréquents mais pas toujours ponctuels, et la fréquence des traversées maritimes peut varier selon les saisons.
Le plus simple est d’atterrir sur l’île de Sal ou Boa Vista, qui accueillent les vols internationaux, avant de rayonner vers les autres îles selon les envies : un vol vers São Vicente pour la plage de São Pedro, un ferry vers Maio pour l’ambiance douce et sableuse de Morro, une boucle par Santiago pour découvrir Tarrafal.
La logistique mise en œuvre nécessite une certaine souplesse et une capacité d’adaptation, mais les efforts sont largement récompensés. Les déplacements se font en voiture avec chauffeur, en aluguer (une sorte de taxi mutualisé) ou à pied, selon les lieux.
Le choix du style d’hébergement va du petit hôtel de charme aux casas rurales en bord de plage. Sur certaines îles, il est encore possible de marcher pendant une heure sans croiser âme qui vive, avant de déboucher sur une baie vide, sauvage, inoubliable.
Nos clients-voyageurs aiment :
- La plage de Santa Mónica à Boa Vista, immense, désertée, bordée de dunes ;
- Les criques de sable noir à São Vicente, baignées de lumière dorée en fin de journée ;
- La tranquillité absolue des plages de Maio, hors du temps ;
- L’ambiance locale et animée de Tarrafal, au nord de Santiago ;
- Le contraste entre les plages sauvages de Sal Rei et les hôtels discrets qui les bordent ;
- La sensation d’avoir une baie rien que pour soi, en pleine saison ;
- Marcher pieds nus dans les dunes avant de plonger dans l’Atlantique ;
- Les couchers de soleil sur l’océan depuis la plage de São Pedro ;
- Les pirogues colorées tirées sur le sable, les scènes de pêche au lever du jour ;
- L’absence de béton : même sur les îles les plus touristiques, l’authenticité reste intacte.
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Un seul impératif : au minimum 6 nuits consécutives


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